Dans cet Article, nous allons aborder le lien qui existe entre une mauvaise alimentation et notre comportement face aux événements se produisant dans notre vie. Car il est tout à fait possible au quotidien d’avoir une alimentation anti-déprime.
Tout d’abord, nous identifierons ce que l’on définit comme de la malbouffe. En effet, nous avons tous une appréciation différente de ce qu’est une mauvaise alimentation.
Le lien sera ensuite abordé entre notre comportement alimentaire et notre comportement en tant que personne. Ce point est en lien avec ce que l’on appelle des troubles du comportement alimentaire.
Pour terminer, je vous donnerai quelques astuces pour faire face à ces situations qui nous rendent parfois coupables.
La malbouffe est un terme choc employé pour désigner une alimentation qui ne correspond pas ou ne nous apporte pas ce dont notre corps a besoin pour fonctionner correctement.
Nous connaissons tous des exemples de malbouffe ou d’une mauvaise alimentation. Le fast-food est l’exemple type que tout le monde connait. Mais qu’est-ce qui est mal vu au sein de la restauration rapide ? Est-ce que cela veut dire que ce qui est proposé mauvais ?
Le même exemple s’applique avec une pâte à tartiner bien connue. Nous savons tous que ce n’est pas le top. Mais est-ce que pour autant toutes les pâtes à tartiner sont mauvaises ? Ces exemples sont les plus connus et les plus simples à aborder mais lors d’une discussion avec votre famille, vos collègues, amis, … vous remarquerez que nous ne sommes pas tous en phase entre un bon et un mauvais aliment.
Nous conviendrons tous qu’une mauvaise alimentation correspond à des aliments ne nous apportant pas les nutriments (l’énergie) nécessaires pour que notre corps soit en pleine possession de ses moyens, toujours en forme et dépourvu de troubles internes du type ballonnements, aigreurs d’estomac, coliques, … la liste est longue.
Sans vouloir plomber les fast-foods, ce n’est pas l’objet de l’article, pourquoi les hamburgers sont mauvais pour notre santé et si bons à manger ? Je vous ai fait un petit tableau entre ce hamburger Fast-food et un hamburger que je suis amené à faire personnellement à la maison. Nous allons même peser le pour et le contre par la même occasion.
Je ne connais pas plus que vous les procédés de fabrication des hamburgers, mais je ne pense pas être loin de la vérité. Si mes notes sont trop dures à votre goût, refaites vous-mêmes votre calcul.
Avec cet exemple, j’espère que vous commencez à comprendre la malbouffe de la « bonne bouffe ». Vous pouvez appliquer cet exemple à tous les produits que vous souhaitez. Le principal indicateur étant d’être vigilant à la qualité de ce que vous mangez. Sans une bonne qualité de vos aliments, de vos ingrédients, vous ne percevez pas les bénéfices pour votre santé.
Vous remarquerez également que tout ne peut être immédiat et à disposition en quelques minutes. La création maison de votre hamburger demande du temps. Le prix est également le même. Dans certains cas, faire maison coûte plus cher que des préparations industrielles. Cela s’explique généralement par la qualité des ingrédients.
La frontière entre bon et mauvais ne se joue pas à grand-chose. Les aliments issus de procédés industriels sont rarement bons pour notre santé. Il est difficile de trouver des industriels associant les 2. Dans la majeure partie des cas, ce sont les coûts d’achats à baisser de plus en plus, pour augmenter la marge dégagée à chaque vente. Malheureusement, ce système laisse place à des travers. Nous en payons le prix, celui de notre santé.
Dans le chapitre précédent, quelques explications ont été données sur ce que le terme malbouffe ou mauvaise alimentation signifie. Mais alors pourquoi y-a-t-il toujours autant de monde dans les fast-foods et pourquoi achetons-nous toujours cette pâte à tartiner si mal vue ? Tous ces concepts ne devraient plus exister si nous sommes conscients que notre santé est en jeu.
La réponse est dans notre cerveau et plus particulièrement là où s’active nos émotions et notre mémoire par rapport à cela. C’est en effet un facteur psychologique qui entre en jeu dont il est extrêmement difficile de sortir une fois les 2 pieds dedans. Au fur et à mesure de mes rencontres, une personne a attiré mon attention. Elle était fumeuse et elle avait déjà eu de grosses difficultés arriver à stopper le tabac. Sa volonté lui a permis d’y arriver et les tentations sont parfois encore présentes même après quelques années.
Lors de nos différentes conversations, elle me fait part qu’elle souhaiterait également perdre du poids. En lui demandant ce qu’elle mange, elle m’explique ses repas comparables au repas d’un Français moyen de nos jours. En lui demandant pourquoi elle ne recherche pas à diminuer ses apports en sucre ajouté non nécessaire à son alimentation (en faisant référence au sucre du café, petit-déjeuner sucré, gâteau ou barre chocolatée à 10h, …), elle me dit « je n’y arrive pas ».
A ce moment-là, je profite de faire la comparaison entre ses besoins à manger sucré et son ancienne vie de fumeur. Sa réponse m’a fait comprendre que certains aliments sont une véritable drogue dans le sens propre du terme. Elle m’a affirmé que ce serait plus difficile d’arrêter ses écarts sucrés que ce qu’elle avait vécu comme ancienne grande fumeuse.
Lorsque votre alimentation est majoritairement issue d’aliments transformés contenant des sucres ajoutés, de mauvaises graisses, du sel en excès ou encore des additifs alimentaires, nos émotions sont directement touchées face à ce cocktail de plaisirs. A votre avis, pourquoi les enfants préfèrent manger des bonbons, des burgers, … au lieu de légumes ?
Tout simplement parce que les produits naturels ne nous impactent pas de la même manière émotionnellement. Le sucre est un aliment doux, qui soulage notre anxiété, notre stress, … Vous ne le saviez pas, essayez d’arrêter de manger du sucre sous toutes ses formes pendant une semaine ? Vous m’en direz des nouvelles.
Dans les aliments issus de la malbouffe (de la mauvaise qualité), les produits sont étudiés pour vous toucher émotionnellement. Votre cerveau va alors enregistrer cette information comme plaisante et fera le rapprochement entre un hamburger fast-food = mauvais pour la santé mais qu’est-ce que c’est bon ?
C’est un vrai cercle vicieux que nous avons face à nous et dont il est très difficile à sortir car de la malbouffe, il y en a partout. Lorsque vous faites vos courses en magasin, à certains coins de rues et même chez nous lorsque l’on regarde la télévision où l’on nous incite (sans le dire concrètement) à manger encore.
Le défi n’est pas simple car changer une alimentation non respectueuse de votre corps n’est pas qu’un simple challenge, c’est un objectif de vie, c’est un changement de vie. Dès que vous arrivez à faire des efforts, le premier craquage nous fait retourner à la case départ. Tout cela parce que nos émotions sont trop fortes ou parce que notre volonté n’est pas assez forte pour diminuer drastiquement les mauvais aliments présents dans notre vie et nos armoires J.
Notre vie ne nous facile pas le travail non plus. Vous rencontrez peut-être des problèmes dans votre travail, un stress ou tous autres états mettant en baisse votre moral, votre humeur, votre énergie. Prendre un remontant sucré nous fait plaisir intérieurement. Nous le savons et notre cerveau le ressent aussi. Le hic est que ce petit plaisir est éphémère. Les soucis reprennent le dessus quelques temps après lorsque ces plaisirs sont consommés.
Et la boucle reprend depuis le début, etc, … Notre état se dégrade petit à petit, jusqu’à arriver parfois à un niveau très bas. Le sucre n’est en fin de compte qu’un faux ami. Il nous a aidé à perpétuer cet état, voire à le dégrader.
La malbouffe est une prison pour notre esprit car elle est faite pour nous plomber. En consommant des aliments sains, le plus naturel possible, c’est-à-dire non transformés, vous retrouverez de l’énergie, votre esprit sera plus clair, relativisera différemment face aux situations difficiles. Vous serez plus à même de faire face et de prendre de meilleures décisions.
Si vous vous sentez concernés par cette situation, je ne vous mentirai pas car le chemin à prendre est difficile au début. Mais en étant motivé et en gardant des œillères pour ne voir que votre objectif, vous allez y arriver. Vous n’êtes pas seuls dans cette situation.
Cette malbouffe ne vous parait peut-être pas si mauvaise que cela car vous n’avez pas de problème de santé apparent. Tant mieux pour vous, expliquez-moi pourquoi les maladies graves sont de plus en plus présentes dans notre vie et directement dans notre famille.
Nous connaissons ou nous avons connu une ou plusieurs personnes ayant eu un cancer, une maladie neurodégénérative (Alzheimer, …). Je ne conclue pas que notre alimentation est la seule coupable mais c’est assurément l’un des facteurs les plus importants à mettre en avant.
Tout d’abord, la majeure partie des aliments que vous consommez doivent être sains, naturels, c’est-à-dire non issus de procédés industriels. La majeure partie représente au minimum 80% de l’alimentation totale.
Soyez conscient(e) que plus vous garderez de « plaisirs », plus vous aurez des difficultés à maintenir le cap et à atteindre l’objectif que vous vous êtes fixé.
La qualité des aliments que vous achetez doit être dans la mesure du possible la meilleure possible. Pour cela, les produits biologiques naturels (non transformés également) sont une excellente alternative pour y parvenir. Si Le prix est trop élevé, recherchez sur internet. Des cultivateurs vendent peut-être en direct leurs produits. La qualité sera au rendez-vous (en tout cas, vous pourrez leur poser la question) et votre porte-monnaie ne verra pas la différence.
Vos loisirs ne sont pas nécessairement à sacrifier parce que vous commencez à manger plus sainement ou parce que vous décidez d’acheter « bio ». En diminuant la malbouffe et en augmentant les bons produits, vous devriez normalement vous y retrouver.
Diminuer les quantités de malbouffe dans vos placards, armoires, réfrigérateurs et tous les autres lieux de stockage d’aliments chez vous. Si vous n’avez plus vos aliments « plaisirs », même avec une tentation que votre cerveau vous lancera, vous ne pourrez pas faire votre écart.
Pour cela, trouvez des aliments de substitution à consommer en remplacement. Des fruits naturels (ou sans sucre ajouté) qui ont un goût sucré peuvent faire l’affaire. Quelques noix ou autres aliments bruts peuvent également convenir.
Rappelez-vous toujours que votre santé est directement liée à ce que vous mangez.
À PROPOS
Bonjour, je m'appelle Jérémy. Bon vivant pour un bien-être adapté à mon corps depuis de nombreuses années. Retrouvez les solutions et les astuces pratiques pour construire la vôtre.
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